lundi 28 septembre 2015

« L’attentat » de Yasmina Khadra

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On trouve deux livres sur Babelio.com intitulés « L’attentat ». Il y a le livre néerlandais d’Harry Mulisch qui adresse la Seconde Guerre mondiale et le récit de Yasmina Khadra sur une autre guerre ; le conflit israëlo-palestinien. Cette petite critique concerne le livre de Yashmina Khadra.

C’est une histoire désagréable, une histoire qui confronte le lecteur avec une situation réelle et vilaine. L’histoire traite les conséquences de l’intifada pour les vies des Palestiniens. C’est une histoire émouvante et totalement crédible. 

dimanche 27 septembre 2015

« Nymphéas noirs » de Michel Bussi

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Un livre qui ne se trouvait pas sur ma liste de la lecture « urgente », bien que j’aie beaucoup aimé "Un avion sans elle" du même auteur.  Cependant, les critiques sur Babelio.com sont tellement positives en ce qui concerne ses Nympheás noirs, que je n’ai pas hésité à emprunter ce livre il y a quelques jours. C’est une histoire de meurtres dans un village français très connu : les événements se déroulent à Giverny, le village de Claude Monet.

jeudi 24 septembre 2015

« Rien ne s'oppose à la nuit » de Delphine de Vigan

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Bien que je n’aime pas tellement les histoires de familles, j’ai été sûr que ce livre vaudra la peine. Les critiques sur Babelio sont très positives et ils sont aussi bien appréciés par les autres lecteurs. Donc, c’était une chose simple : je devrais lire ce livre malgré le thème peu attirant.
Et oui, après avoir terminé cet œuvre je peux conclure que c’est un livre magnifique. Il y a des livres qui m’ont tellement impressionné que je ne sais pas comment écrire une critique qui vaut la peine. Donc, j’écrirai seulement quelques lignes sur ce livre, non parce que je ne l’aime pas suffisamment, mais parce que je le trouve trop merveilleux.

« Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier » de Patrick Modiano

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Les opinions sur ce livre sont très diverses sur Babelio ; il y a des fans qui l’adorent mais aussi des lecteurs qui en sont totalement déçus. C’est un relativement petit livre que j’ai trouvé par hasard. Je me suis décidé à le lire à travers la lecture de mes livres empruntés de la bibliothèque.
C’est après quelques pages déjà que j’ai pu conclure que moi, je suis un fan. C’est une histoire d’un homme d’âge moyen, qui se rappelle lentement des choses de son enfance. Il les a oubliées car son enfance a été une enfance froide sans une mère affectueuse, et, à vrai dire, sans une mère du tout. L’histoire s'enroule dans l’actualité mais les souvenirs datent d’environ quarante ans.

mercredi 23 septembre 2015

« Checkpoint » de Jean-Christophe Rufin

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Cinq Français, cinq humanitaires, voyagent dans un petit convoi de deux camions en Bosnie des années 90 du siècle dernier. Ils apportent des vêtements, de la nourriture et des médicaments pour les victimes de la guerre civile. Tous les cinq humanitaires ont des motifs différents pour participer à cette mission humanitaire : soit par, soit pour rendre justice soit à cause d’une volonté abstraite pour aider les gens. Le voyage est dangereux, ils roulent à travers un pays à feu et ce sont surtout les check-points où les choses sont les plus risquées. Passer le check-point, c’est le moment de la confrontation personnelle des humanitaires, soit avec des soldats réguliers et disciplinés, soit avec des milices irrégulières et imprévisibles. Ce sont les check-points qui forment les frontières concrètes entre les territoires de divers combattants. 

lundi 14 septembre 2015

« Personne » de Gwenaëlle Aubry

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L’écrivain a fait un portrait de son père décédé. Son père était une personne compliquée qui a souffert d’une maladie mentale. Elle utilise des fragments de son écriture et de ses journaux laissés et des souvenirs à elle.  Le livre est présenté comme un roman-abécédaire, et chaque chapitre traite un aspect particulier du personnage de son père. C’est une idée vraiment drôle.

Malheureusement, c’est un livre qui ne m’a pas plu. Je trouve le texte ennuyeux et peu captivant. Après avoir lu le premier 100 pages (environ 60% du livre) j’ai commencé à omettre un page ici et un chapitre là pour finir le livre plus vite

Le livre a gagné le Prix Femina en 2009.

samedi 12 septembre 2015

« Le dernier frère » de Nathacha Appanah

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Un beau livre sur les souvenirs d’enfance d’un homme âgé sur l’île Maurice. En 1945, Raj, pauvre enfant maladif de dix an, qui a perdu ses deux frères à cause d’une inondation, rencontre David, un enfant juif du même âge. David est un réfugié qui reste dans la prison sur cette île.
Les autorités anglaises l’ont interné là, ensemble avec plus de millier d’autres réfugiés juifs, après ils ont essayé d’atteindre Haïfa en Palestine. David est un enfant malade, une victime de paludisme. Après un cyclone destructeur, David échappe la prison pour rester avec Raj. Malgré leur pauvreté et leurs maladies, ils passent plusieurs journées inoubliables en jouant dans la grande forêt de Maurice. C’est une histoire qui finira mal.

jeudi 10 septembre 2015

« Où on va, papa ? » de Jean-Louis Fournier

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Un petit livre sur un thème difficile, des enfants handicapés. Un livre écrit avec d’humour noir. Un père qui décrit ses expériences avec ses deux enfants handicapés. J’avoue que pendant la lecture, j’ai consulté l’internet pour savoir et pour constater que l'écrivain a ses expériences personnelles avec ce sujet. Je ne sais pas exactement pourquoi après cette constatation le livre a gagné du poids.

Malgré le sujet dur, j’ai ri beaucoup car l’écrivain utilise un style et d’humour qui m’ont plu. Tous les textes sont très courts, ils sont anecdotes, souvent d’une demi-page, parfois d’une page et demie. Malgré cette concision, l’écrivain arrive à transmettre un sentiment mêle : l’amour pour ses enfants et la frustration à cause de leurs handicaps. Il décrit ses pensées et ses sentiments en ce qui concerne l’impossibilité d’une éducation normale de ses enfants.

« Du domaine des Murmures » de Carole Martinez

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Un livre surprenant avec une intrigue qui semble peu excitante au début ; une jeune fille qui s’est enfermée  dans une petite chapelle, une cellule, pour servir Dieu et pour échapper à un mariage indésirable. C’est l’année 1187, quand Esclarmonde fait l’inconcevable : pendant la cérémonie de son mariage elle dit non à son mari à venir. C’est devant son père, devant l’archevêque et devant tous les invités qu’elle exprime le désir de donner sa vie à Dieu. Elle n’entre pas dans les ordres mais elle servira Dieu par s’emmurer et par vivre dans cette petite cellule pour la vie.

« Dix-neuf secondes » de Pierre Charras

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Un livre sur un thème trop actuel, les vies de quelques gens qui sont soudainement interrompues, une bombe dans le métro parisien, un attentat insensé. C’est un livre captivant, les chapitres se sont présentés comme un compte à rebours ; dix-neuf secondes, dix-huit secondes,... On se trouve dans la tête de quelques personnes sur ce métro, on gagne connaissance de leurs dernières pensées et de leurs derniers sentiments et doutes jusqu’au moment de l’explosion et de leurs morts.

« Lilah » de Marek Halter

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Lilah est le deuxième livre de Marek Halter pour moi. Apres avoir lu son livre « Les Mystères de Jérusalem », une vraie déception,  j’ai un peu hésité avant que j’aie emprunté Lilah à la bibliothèque. C’est le troisième livre de la série La Bible au féminin. Évidemment, j’aurais dû attendre pour le retour des premiers deux livres de la série à la bibliothèque avant que je commence au troisième livre, soit.
Lilah est une femme juive qui habite à Suse, la capitale de l’Empire perse en environ 400 avant Jésus-Christ. Bien qu’elle puisse marier un guerrier perse et monter sa position sociale, elle a choisi de suivre son frère Ezra et son peuple à Jérusalem en Terre promise. Ce n’est pas vraiment un choix libre mais un choix imposé par la reine perse influente qui s'oppose à ce mariage.

« Sous l’acacia de l’Occident » de Christian Jacq

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Sous l’acacia de l’Occident est le cinquième et dernier livre de la série sur la vie de Ramsès. Le pharaon administre son pays et il fait la politique internationale avec les Hittites. Tout comme dans le livre précédent que je n’ai pas aimé tellement. Mais j’ai acheté les cinq livres à bon marché il y a deux ans donc j’ai dû les terminer.
Je l’ai écrit déjà plus tôt, dans ma critique du quatrième livre, les caractères dans ces séries sont minces comme du papier à cigarettes. Dans cet cinquième livre, chaque caractère est encore une fois soit bon, soit mauvais, il n’y a pas des degrés.